Femme du Pérou en tenue traditionnelle tissant de la laine d'alpaga
Tourisme solidaire Vietnam
Tourisme solidaire Afrique du Sud

Les équipes du Groupe Salaün sont conscientes que, si le tourisme est créateur de richesses, il est aussi une activité qui peut créer des déséquilibres économiques et culturels dans les pays visités. C'est pourquoi elles sont engagées dans une réflexion sur un tourisme plus responsable.

Des voyages authentiques et tournés vers l'avenir

Salaün Holidays est engagé depuis longtemps dans une démarche de tourisme durable avec pour objectif de faire rencontrer le Monde au plus grand nombre en toute conscience et responsabilité.

Pour ce faire, en tant que spécialiste des circuits dans le monde, nous nous engageons au quotidien à :

  • Œuvrer pour un tourisme responsable en minimisant notre impact environnemental sur les destinations visitées grâce à un travail avec nos réceptifs locaux et en absorbant une partie de notre empreinte carbone à travers des projets de reforestation.
  • Offrir à nos voyageurs une expérience inoubliable en respectant notre promesse de rencontre avec le Monde et en visant l’excellence de nos services, grâce à des moments d'échange privilégiés avec les populations locales afin de mieux appréhender leur quotidien, leurs difficultés et leurs richesses culturelles.
  • Soutenir le développement des territoires sur les destinations visitées grâce à nos opérations de tourisme solidaire, mais aussi dans notre région en participant à la création d’emplois et de richesses en Bretagne.
  • À engager et fidéliser nos collaborateurs en développant la formation et en favorisant le bien-être au travail.
  • Sensibiliser nos voyageurs (en leur partageant la Charte Éthique du Voyageur rédigée par Agir pour un Tourisme Responsable) et les acteurs du monde du voyage au tourisme responsable et les inciter à agir à leur niveau.
  • Instaurer une relation de confiance durable avec nos partenaires réceptifs grâce à des échanges réguliers et au partage de bonnes pratiques.

Absorption carbone : 1€ reversé par client

Setosphere

Dans le cadre de la politique d’absorption de ses émissions carbone, Salaün Holidays s’est engagé à reverser, en 2023, 1 € par client au fonds de dotation Setosphère créé en 2022 à l'initiative du SETO (Syndicat des Entreprises du Tour operating). Grâce à l’engagement de Salaün Holidays et d'autres acteurs du voyage, le fonds de dotation du SETO s’est associé au fonds de dotation “Insolite Bâtisseur Philippe Romero la Fondation”. Objectif : participer au financement à grande échelle de projets pérennes et avec un grand impact en termes de captation carbone. Tous ces projets sont certifiés par des organismes internationaux accrédité. 

Femme en habits traditionnels assise sur une barque

Nos opérations de tourisme solidaire

En tant que tour-opérateur, Salaün Holidays a une responsabilité envers les populations et les lieux visités. Il est de son devoir de veiller à ce que la rencontre entre le voyageur et son éphémère terre d’accueil, ses habitants, sa culture, son patrimoine se fasse dans le plus grand respect et avec le minimum d’impact. Les équipes du T.O ont d’abord cherché à intégrer autant que possible cette réflexion dans leurs voyages, selon les possibilités et la nature des différentes destinations, à travers le respect du patrimoine, des sites, des coutumes et des traditions des peuples qui nous accueillent

Dans un deuxième temps, soucieux d’agir concrètement et apporter son soutien aux populations qui en ont le plus besoin, Salaün Holidays s’est engagé à aller plus loin. Ainsi, le T.O mène aujourd’hui des opérations de tourisme solidaire dans 7 pays : des projets sélectionnés avec soin en suivant les conseils de ses partenaires sur place. Il s’agit d’opérations très différentes d’une destination à l’autre mais qui ont pour point commun d’y associer systématiquement les voyageurs afin que la promesse d’une rencontre avec le Monde se transforme en inoubliable souvenir...

Arrosage de la plantation forestière du lac Itasy à Madagascar
Arrosage de la plantation forestière ©Agrisud International
Mise en terre d'un oranger dans la plantation forestière du lac Itasy à Madagascar
Plantation forestière ©Agrisud International
Désherbage de la plantation forestière du lac Itasy
Désherbage de la plantation ©Agrisud International

C’est en 2016 que Salaün Holidays a commencé à planter ses premiers arbres grâce à une rencontre avec l’équipe de la Start up brestoise Ecotree
Six ans plus tard, c’est plus de 2500 arbres, géolocalisables sur le site ecotree.green, que le Groupe a plantés dans des forêts bretonnes. Une initiative qui permet au T.O. d’atténuer son impact environnemental tout en participant à une belle action de reboisement. 

Dans une même démarche d’œuvrer pour un tourisme plus responsable, Salaün Holidays a décidé en 2019 de participer à un programme d’ampleur développé entre son partenaire privilégié Air France et l’association “A Tree for You” ; projet qui met en relation des donateurs et des projets de plantation d’arbres partout à travers le monde. Avec Air France, Salaün Holidays a participé à la plantation de 57 470 arbres (plantés en avril 2019). Une action importante se déroulant dans la région sensible du lac Itasy à Madagascar et permettant à 700 familles de producteurs de faire évoluer leurs pratiques vers l’agroécologie et la mise en place de systèmes forestiers et agroforestiers. Avec une superficie de 35 km², le lac Itasy, troisième plus grand lac de Madagascar, est menacé par l’ensablement provoqué par des pratiques inappropriées. Sa superficie aurait diminué de 15 à 20 % au cours des 50 dernières années ! En mai 2023, le projet a pris fin, les objectifs ont été atteints et dépassés, et les bénéficiaires sont ravis !  

Vous souhaiter lutter contre le réchauffement climatique et contribuer à la biodiversité ? 
Contribuez à changer le monde avec Ecotree > >

Vous souhaitez vous engager pour la planète et les communautés locales ? 
Rejoignez la communauté de planteurs de A tree for you > >

Panorama d'une forêt de pins

Plus de 65% des vols effectués par le Groupe Salaun sont assurés par Air France. Un gage de sécurité, de fiabilité et d’excellence pour nos clients mais aussi un partenaire clé engagé pour un tourisme plus durable. 

Face au défi climatique, Air France-KLM accélère sa transition. La stratégie de décarbonation de ses activités repose notamment sur la réduction de leurs émissions directes et indirectes de CO₂, avec un objectif de diminution de 30% par passager/km à l’horizon 2030 (par rapport à 2019). 

3 leviers pour réduire les émissions sont principalement activés par Air France-KLM : 

  • Le renouvellement de la flotte : le remplacement progressif des appareils par des modèles nouvelle génération plus propres et plus économes en carburant compte parmi les mesures phares mises en place : 
    • 70% d’avions de nouvelle génération prévus dans la flotte d’ici 2030 contre 7% en 2019 
    • 20 à 25% de réductions d’émissions de CO₂ observés en moyenne sur les appareils de nouvelle génération 

L'utilisation de carburant d'aviation durable 

  • Le carburant d’aviation durable (SAF ou sustainable aviation fuel) est également l’un des leviers les plus prometteurs pour réduire les émissions de CO₂ de la compagnie Air France qui prévoit d’ores et déjà d’en utiliser plus de 10% à bord de ses avions d’ici 2030, dépassant ainsi les obligations fixées par la Commission européenne. 

L'adoption de méthodes d'éco-pilotage 

  • Les procédures les plus efficaces sur le plan énergétique sont déjà appliquées par les pilotes, chaque fois que cela est possible  : précision des plans de vol, adaptation de la vitesse et optimisation des trajectoires, configurations d’atterrissage, roulage au sol avec un seul moteur.

Découvrez et partagez la Charte Éthique du Voyageur

Chacun de nous peut contribuer à être un voyageur responsable, attentif au monde et à ses habitants, en suivant quelques conseils, avant, pendant et après le voyage. La Charte Éthique du Voyageur présente ci-dessous a été rédigée par l'association ATR (Agir pour un Tourisme Responsable), qui œuvre pour améliorer l’impact du tourisme sur la planète et ses habitants.

Avant le voyage

Préparer son voyage, c’est d’abord s’intéresser à la destination.

  1. Bien s’informer sur les habitants et leur mode de vie, le patrimoine, la religion, l’environnement, l’économie, et apprendre quelques mots dans la langue de la destination.
  2. Choisir des professionnels impliqués dans le tourisme responsable : agences de voyage, tour-opérateurs, compagnies aériennes, guides, activités sur place, hébergements, restaurants.
  3. N’emporter que l’essentiel, et garder de la place dans la valise pour ramener des souvenirs fabriqués localement. Se renseigner sur la pratique et les limites du marchandage des prix et sur les pourboires laissés aux professionnels : restaurants, hébergements, guides, artisans, commerçants, sans s’obstiner à vouloir obtenir des privilèges.
  4. Pour partir l’esprit léger, garder l’esprit critique. S’interroger sur la réalité des risques de la destination, et se renseigner auprès des organismes compétents, sans se laisser trop influencer par certains médias.

« Le voyage permet la rencontre, la rencontre permet la connaissance, la connaissance permet la confiance. » (proverbe bambara)

Pendant le voyage

Respecter aussi bien la nature que les hommes et leur culture.

  1. Se mettre au diapason des us et coutumes de la destination, sans imposer ses habitudes ni son style de vie, en portant attention à la manière de s’habiller notamment dans les lieux de culte, mais aussi aux signes de richesse qui peuvent contraster avec le niveau de vie local. Goûter la cuisine locale, et être curieux des modes d’hébergements authentiques.
  2. Avant de photographier une personne, prendre le temps de lui demander l’autorisation et profiter de l’occasion pour nouer le dialogue. Pour les enfants, demander l’accord des parents.
  3. Comme chez soi, trier les déchets lorsque cela est possible, économiser l’eau et l’énergie. Respecter aussi les règles affichées dans les espaces naturels, afin de préserver l’équilibre des lieux, de même que dans les musées, les villes, ou sur les plages.
  4. Veiller à ne pas prélever de souvenirs dans les sites naturels et archéologiques, et à ne pas favoriser le vol et les dégradations en achetant des objets sacrés ou des produits issus d’espèces protégées. Préférer le don aux associations compétentes, aux écoles, aux chefs de villages, plutôt que de favoriser la mendicité, notamment celle des enfants. Dénoncer l’exploitation sexuelle des enfants. Dans plusieurs pays dont la France, des lois poursuivent les délits sexuels commis à l’étranger.

« Nous n’héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants. » (maxime amérindienne reprise par Antoine de Saint-Exupéry)

Après le voyage

Favoriser le dialogue entre les cultures pour permettre un tourisme facteur de paix.

  1. Honorer ses engagements avec les personnes rencontrées pendant le voyage, l’envoi de photos par exemple. Si vous avez remarqué des situations graves et intolérables, les signaler à l’agence qui vous a vendu le voyage ou aux autorités compétentes.
  2. Compenser tout ou partie des émissions liées à son voyage, et notamment les déplacements en avion, en contribuant à des projets de solidarité climatique. Soutenir des initiatives locales en donnant à des associations de développement, en s’engageant au sein d’ONG, ou en achetant des produits du commerce équitable.
  3. Partager son expérience de voyageur, en famille, avec ses amis, ou sur les réseaux sociaux pour témoigner des richesses et des fragilités de notre planète, et faire bénéficier aux autres de conseils pour voyager mieux.
  4. Préparer son prochain voyage, proche ou lointain, en prenant conscience des nombreuses vertus du tourisme, non seulement économiques et sociales mais aussi culturelles et environnementales. Le tourisme donne de la valeur au patrimoine et encourage sa protection.

« Seule l’empreinte de nos pas doit rester derrière nous, laissons le meilleur des souvenirs à nos hôtes. » (citation issue de la première charte éthique du voyageur écrite en 1996)

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